Carrouges, ma terre natale
Récit historique paru en 2014 chez Édilivre état: réédition |
![]() ![]() |
||
Résumé:Carrouges, paisible contrée de l’Orne, en Basse-Normandie, sise à la croisée des chemins Montois et de ceux de Compostelle venant des plages normandes, fut le berceau de personnages au destin incroyable, demeurés méconnus. C’est pourquoi, l’auteur Mary Cousin, originaire de cette terre, a choisi de partir à la recherche de ces oubliés de l’Histoire et d’exhumer leurs destinées insolites ou les anecdotes extraordinaires de ceux ayant contribué à la renommée de figures emblématiques comme celle de sainte Thérèse de Lisieux pour ce qui est de notre Père Pichon, son directeur de conscience, ou de Jacques Cartier pour ce qui est de notre Jean Le Veneur, Grand Aumônier de François 1er. Vous serez étonné d’apprendre que Carrouges compte plus d’une douzaine de Médaillés de la Légion d’Honneur, tel Théophile Anger, médecin de Napoléon III ou Jean Héron, chef du réseau de Résistance « Arc en Ciel » pour la Basse-Normandie. De même que vous ne pourrez pas être indifférent au destin de notre Marin Blanchet dont la tête testera, bien malgré lui, la lame tranchante de la guillotine ou celui de notre Marie-Charlotte dont la sienne testera celle du rasoir d’un peuple libéré du joug nazi. Vous ne manquerez pas d’être captivé par le récit de notre Pierre Millet, grognard de la Grande Armée de Napoléon Bonaparte qu’il suivit dans la campagne d’Egypte ou celui, non moins romanesque, de Tanneguy II Le Veneur, Ambassadeur de France en Angleterre, au temps de Buckingham, de d’Artagnan et des Mousquetaires. Sans parler du destin fabuleux de Jean IV de Carrouges dont l’amour fut mis à l’épreuve dans un duel judiciaire qui fut le dernier autorisé en France par le Parlement de Paris en 1386, ou celui du Général Leveneur qui côtoya La Fayette. Et comment ne pas être fasciné par la longue et fantastique carrière de l’un des tous premiers acteurs de la télévision française, pensionnaire de la Comédie Française, qui joua justement « D’Artagnan et La Fayette », ainsi que « Le Chevalier de Maison Rouge » à l’écran, le fameux Michel Le Royer qui, à plus de 80 ans, reste fidèle aux planches. Ne pouvant pas les citer tous, mais bien certains que vous serez subjugué par leur destinée, nous vous laissons le soin de les découvrir. |